Ce qui m’a frappé dans cette nouvelle, c’est son contexte. Au moment où il l’écrit, Moyshe Nadir est newyorkais et communiste (et même antisioniste). Il est entré résolument dans la modernité et écrit des articles cinglants dans des journaux communistes. Quand il décrit un jeune garçon timide, suivant une éducation religieuse traditionnelle en Europe, habillé de manière traditionnelle, jurant sur ses tsitsit, il décrit une personne complètement opposée à celle qu’il est devenu.
Lire la critique de Nicolas Legrand sur son blog Sipourim VeShirim.