![](https://editions.yiddish.paris/wp-content/uploads/2021/05/4A067944-CFDF-4B26-81AE-9003EB657588-191x300.jpeg)
La traductrice, Batia Baum, y déploie une fois de plus son admirable savoir-faire, depuis les premiers poèmes, d’inspiration plutôt lyrique, jusqu’aux poèmes de la période post-génocidaire, que Zeitlin lui-même avait répartis entre ses deux volumes intitulés « poèmes de l’Anéantissement et poèmes de la foi ».
![](https://editions.yiddish.paris/wp-content/uploads/2021/01/weizmann_ii_fr_couv-e1608734916453-652x1024-1-191x300.jpg)
Fantaisie bouffonne à la Ubu mais parfois aussi cruellement référentielle, la pièce déroule quelques lieux symboliques, entre diaspora et « terre promise », peuplés de personnages-marionnettes, représentant à gros traits, excessivement satirisés, les lieux communs d’un antisémitisme à la fois caricatural et outrancièrement ordinaire.
Lire l’article de Carole Ksiazenicer-Matheron sur le site du journal En attendant Nadeau.